A Lomé, la quasi-totalité des jeunes branchés ont revu et corrigé leurs façons de faire la fête ; ils préfèrent soit allé écouter de la musique live dans les clubs, ou allé prendre quelques pots entres amis dans les maquis. Exit de plus en plus les soirées en boîte de nuit où l’on saute deux à quatre bouteilles entre amis…
La crise économique actuelle est vite pointée du doigt par la quasi-totalité des personnes interrogés. En effet la cherté de la vie traduit par la hausse des prix des denrées de premières nécessité à poussé plus d’un à régler son train de vie de façon a limiter les dépenses. « Moi je préfère aller me saouler la gueule dans un bar du quartier plutôt que dans une boite de nuit ou le prix des boissons sont excessivement élevé » nous avoue Cédric conducteur de zémidjan (taxi moto en fon). Il est vrais que les prix des boissons changent généralement selon le cadre, mais est-ce vraiment une raison ? A en croire mawuli fonctionnaire dans une société de l’Etat, « Le salarié moyen au Togo ne peu plus se permettre le luxe de fréquenter souvent les boites de nuit, donc s’il faut faire la fête autant organiser un party à la maison avec ses amis autour d’un pot de sodabi ou de tchapkalo (boissons locales au Togo) puis une bonne pâte d’Akumé avec du yébésséssi pour terminer».
Lorsque l’on questionne ceux qui travail dans les boîtes de nuit ils sont tous unanime, « sur un échel de un sur dix, huit dixième de ceux qui viennent souvent en boite sont soit des Libanais, des Français, des Ivoiriens, des Congolais et des Nigérians » nous explique Boris gérant d’un Night club de la place. Cette réalité et bien la même dans les autres boites de notre belle capitale, ce qui nous pousse finalement à être d’accord avec l’université Erasmus de Rotterdam qui a classé le Togo en dernier position sur les 149 pays qui concernaient ce sondage axés sur les critères de biens être des populations; eh oui, pas de chance pour la jeunesse de s ‘épanouir comme il se doit !
Selon une certaine opinion issue du milieu du showbiz, il y a beaucoup plus eu un changement de mentalité au niveau du publique. Au début les Dee Jayz qui officiaient dans les boites de nuit dans les années 90 jouaient plus de la musique Hip Hop? C’était l’époque du début des groupes de rap made in Togo comme Black Syndikat et par après du groupe Welsn’y ; il y avait aussi les soirées qu’organisaient à l’époque Dj Cino (Privilège Night Club) et le rappeur Eric Mc, c’était la belle époque des semis live sur des intrus made in USA et le publique Togolais suivait. Depuis l’avènement des « atalakou » tout récemment par les Dj venus de la Côte d’Ivoire, le Concept Dee Jaying s’est plus déplacer des boites de nuits pour les lounge Bar et les maquis de la place. Il y a aussi un publique élitiste qui préfère les clubs où l’ont joue de la musique Live Jazz comme le Madingué Club discothèque et certains club qui se sont carrément spécialisé dans le live avec des tendances spéciale pour le Blues, le Reggae, la Rumba Congolaise et les variétés .
Il y a également une marge de la population qui préfèrent certains Centre Culturel qui proposent également des soirées culturelles plus différentes , axées sur les recherches des alternatives pour un monde plus juste et plus égalitaires dont le Centre Mytro Nunya à Adjidogomé…