Pouvez vous nous présenter l’AIDH?
L’AIDH est l’Association Internationale des Droits de l’Homme qui a pour vocation essentielle l’éducation, l’information, la sensibilisation aux droits des femmes et des enfants. Elle est née en 1998 en Haute Savoie. Nous avons mené un certain nombre d’actions à Genève, Genève étant la maison mère des organisations internationales. Mais par la suite, pour des raisons personnelles et professionnelles, elle a été mise en veille. En 2011, a été relancée oficiellement par une conférence pour l’Afrique.
Vous avez parler d’information mais par quels moyens faites vous de l’information?
A l’AIDH nous faisons de l’information à travers des colloques, des séminaires de sensibilisation aux Droits de l’Homme, des formations pour recevoir des personnes victimes de certaines violences au sujet des droits humains, nous leur donnons toutes les informations dont ils pourraient avoir besoin.
Quel est la problématique actuelle?
L’AIDH étant dès sa naissance accès sur les droits de l’homme, nous avons pensé que la femme est à l’origine de l’humanité … que tout part de la femme. En 2012, nous avons dédié l’année à la problématique de la Femme. Et depuis nous nous continuons à oeuvrer contre les violences faites aux femmes.
Certains philosophes grecs (Diogène de Synope, Démocrite, …) étaient reconnus comme féministes, cela date de l’antiquité. Pensez vous que les avancées sont faibles?
La Grèce antique a complêtement ignoré les droits des femmes, car quand les femmes venaient c’était juste pour les amuser. Les hommes mettaient les femmes à l’écart à quelques exceptions près. Je pense que dans toutes les sociétés, même les sociétés antiques et à l’origine du Monde, comme le dit si bien Françoise Héritier : « la Femme est considérée comme étant là pour porter l’Homme, elle n’est pas plus considérée ». Pourtant la Femme tout comme l’Homme est une composante de l’Humanité, elle mérite donc autant de considération.
Vous avez créé un évènement pour la Journée de la Femme. Quelles ont été les retombées?
Le 8 mars a été une soirée en hommage à la Femme, avec un colloque chargé d’émotions qui cloturait les actions menées en 2012. La couverture médiatique a été conséquente, nous avons eu beaucoup d’adhésions. Comme toute association nous avons besoin d’adhésions.
Il y a t-il des personnes phares qui vous suivent?
Nous avons l’ancienne ministre : Roselyne Bachelot, l’historien : François Durpaire, … Nous avons pas mal de personnalités qui nous suivent. Les droits de l’Homme ce sont les droits de tous pas que ceux des personnalités, des gens peu connus qui nous soutiennent, il y en a beaucoup.
Quel est votre prochaine action?
Une campagne médiatique sur la violence faite aux femmes. Il y aura des participations dans des médias, des pétitions, des tracts que l’on distribuera, des tee-shirts. Au mois de novembre, nous tiendrons une table ronde sur les mutilations génitales féminimes, car il y a eu récemment une résolution adoptée par les Nations Unies pour dire : « Stop aux mutilations génitales féminimes ».
je suis du Tchad arabophone je veut être grande mutilant des droits de l’homme connais français moyenne nous somme de petites ethnies parmi les ethnies du Tchad on prives de nos droits ville pas des écoles ni eaux potable je voulu être dans votre QIDH